Jérome Garcin, L’Obs
Magnifique est magnifique d’innocence, de pureté, de sidération.
Auteur
Magnifique est magnifique d’innocence, de pureté, de sidération.
Autant de réalisme que de délicatesse.
Un cinquième roman puissant et sombre.
Beaucoup de justesse.
Ce livre s’envole et nous élève.
C’est bouleversant.
Étourdissant.
Un petit bijou écrit avec pudeur et justesse, à lire absolument.
Magnifique brille par son absence de pathos.
Une lecture particulièrement bouleversante.
On n’en sort pas indemne.
L’évènement littéraire de la rentrée.
Un texte puissant.
J’ai adoré.
Il y a des livres comme ça qui écrasent tous les autres.
Un roman absolument splendide.
Un livre qui permet de comprendre la complexité de la crise.
Un livre saisissant, incroyable.
On est happé par l’histoire de Magnifique.
Un livre magnifique sans faire de jeu de mots.
C’est très beau.
Ce livre redonne du sens au mot littérature.
Une écriture sobre, ardente, un récit-pépite qu’on lit d’un seul jet.
C’est magnifique.
Une voix frêle et forte. Inoubliable.
Une lumière crue sur des événements insupportables que seule une histoire d’amour pouvait peut-être réparer.
Une femme qui, une fois le livre refermé, reste auprès de vous.
Une histoire d’amour bouleversante.
Le romancier fait revivre une Marilyn Monroe encore plus vraie. (…) Original et émouvant, ce livre est un voyage intérieur dans le monde de l’une des plus belles icônes qui continue de faire courir la terre entière…
Cette voix, envoutante ô combien, qui, tantôt susurre, tantôt pleure, s’exalte, s’ennuie, se désespère, chante happy birthday; qui toujours clame son amour exclusif, est celle de Marilyn Monroe. Elle laisse son interlocuteur, JFK, silencieux. Le fantôme de l’absent vient néanmoins occuper tout l’espace et la jolie voix de Marilyn, par la plume délicate de JFVB, […]
J’ai essayé d’être à l’intérieur du corps blindé de drogues et d’alcool de la plus jolie fille du monde.
Entre deux cils obtient le Prix Trân.
Le plus terrifiant sans doute étant l’absence de paroles, venant d’un homme que l’on aime.
Un premier roman à l’atmosphère d’un jour de pluie ensoleillé.
Son premier roman « Entre deux cils » était un livre surprenant. Son second l’est encore plus. Très court mais terrible.
Le romancier, pour un premier livre, a réussi son coup.
L’illustration symptomatique de ce que peut engendrer la mauvaise conscience occidentale.
Un livre concis où presque tout est dit en peu de mots et à voix retenue.
Humour et désespoir : l’auteur a réussi son cocktail.
Un roman d’errance et de désespérance. Intimiste et captivant.
Une prouesse.
Une autobiographie romancée, sous forme de confession.
Ce livre respire la sincérité.
Dès ses premiers mots, on est captivé par la voix hallucinée qui chuchote ici un étrange désarroi.
Un ouvrage salué par l’ensemble de la critique.
Jean-Félix de La Ville Baugé reconnaît le pouvoir des mots et la gravité de la parole en tant qu’avocat comme en tant qu’écrivain. Il maîtrise les uns comme les autres avec un grand talent et beaucoup de sensibilité.
Au pays des Khmers rouges, il découvre les déchets de l’action humanitaire…
Une leçon donnée de main de maître.
Cette confession provoque un profond malaise parce qu’elle nous entraîne dans un troublant jeu de miroirs. C’est un livre qu’on lit d’une traite et qu’on reçoit comme un coup de poing.
L’auteur a beaucoup à dire et le dit vite et haut dans ce petit livre dont l’expression est si personnelle et si prenante, si douloureuse, si dépouillée qu’on ne peut qu’admirer l’artiste.
Avec une remarquable économie de mots, l’auteur va droit au but, fouille la douleur, la dissèque, l’expose, et réussit un roman qui prend aux tripes avec une puissance cinglante. Troublant mais talentueux.
Monologue violent très retenu. Un roman bref mais qui marque.
Un roman qui fait froid dans le dos.
Le thème ne supporte pas les extravagances de langage.
Le silence peut étouffer.
Tragédie du refus de savoir, ce très courts roman résonne comme un cri silencieux.
La violence affleure sous le calme d’une ironie cinglante.
Ecriture directe, précise.
« Qui êtes-vous Jean-Félix de La Ville Baugé ? »
Vidéo de présentation du livre par l’auteur
Odyssée d’un grand duc à la dérive qui n’avait jamais vu de moujiks qu’a travers les vitres du wagon impérial, fiévreuse, poétique, noire, sanglante ou burlesque tour a tour.
Portrait décadent et tragique d’une certaine société russe. Bouillonnant, haut en couleur.
Un récit halluciné sur la chute.
Destinée capricieuse et tragique d’un personnage pris dans la tourmente de l’histoire racontée de manière brillante et subtile.
Le narrateur lucide, sceptique, sans illusion sur sa classe sociale ni sur quoi que ce soit d’autre ; l’évocation de la Révolution et de la guerre civile et de l’effroyable violence qui s’y déploie ; le ton, parfois poétique, parfois émouvant, parfois brutal ou empreint d’humour noir… Les poèmes qui jalonnent le récit… j’ai dévoré […]
Une fresque russe à la fois éclatée et très maîtrisée.
C’est magistral et les changements de ton donnent vie à ce drame. Un grand livre qui ferme les portes.
Un roman superbe – dur, puissant et poétique, ponctué de dialogues à la limite de l’absurde et de poèmes d’une précision évanescente de haïkus, posés comme des perles dans la boue du monde pour dire, malgré tout le reste, sa beauté.
L’écriture est très belle. Il y a comme une musique (russe ?), suivies de respirations, avec des envolées, des passages poétiques et même des silences.
Pour son troisième roman, Jean-Félix de La Ville Baugé nous entraîne dans la chute d’un grand-duc de Russie.
Je ne sais pas pourquoi j’écris.